Wifi non fonctionnel suite à la mise à jour Windows 10 1703

Ce jour, ma tendre épouse a eu la surprise de voir son PC être mis à jour automatiquement en Windows 10 1703.

Comme un très grand nombre de personnes sur les forums, plus de Wifi… Après quelques essais de déconnexion/reconnexion/reboot, toujours rien. Les conseils sur les forums étaient de redescendre en 1609, pas vraiment satisfaisant…

A force de bidouiller, j’ai réussi à faire retomber la carte wifi en marche, de manière très simple en fait.

Aller dans le gestionnaire de périphériques (bouton droit sur l’îcône Windows > Gestionnaire de périphériques), déplier les cartes réseau. Repérer la carte Wifi, bouton droit dessus > Désinstaller le matériel. Après la disparition de la carte dans la liste, bouton droit sur la racine du PC en haut de liste > détecter le nouveau matériel. Il redétecte la carte, la réinstalle, et … bin, chez moi, ça a fonctionné. Des screenshots dès que je suis motivé.

Aucune promesse que cela fonctionne pour tout le monde, mais bon, si ça fonctionne pour quelques uns, et vu la simplicité de la manipulation, bien plus que d’un downgrade en 1609, qui de toute façon n’est pas une solution pérenne…

Bon courage !

Clash Royale

Oui, il m’arrive de jouer à Clash Royale (un peu trop au dire de certains…).

Et en l’absence de comparatif des cartes, et ce jeu étant hautement stratégique sous des airs de pur divertissement, j’ai donc créé un comparatif, à l’image de celui que j’avais fait pour GTA5

Voici donc l’adresse : http://www.donki-le-gris.net/clash-royale (ou http://clash-royale.donki-le-gris.net si vous préférez).

Réduite la taille des VSS (WindowsImageBackup)

Si vous avez une partition saturée par un VSS ( répertoire WindowsImageBackup), sachez qu’il est possible de limiter la taille de se répertoire. Pour ce faire, passer la commande suivante en administrateur :

vssadmin resize shadowstorage /on=c: /for=c: /maxsize=3gb

Paramètres à adapter à votre situation, bien évidemment…

Passer les chemins fibre des ESX en round robin

Pour passer tous les chemins (paths) fibre des ESX en round robin (« circulaire » dans l’interface en français), et non en « fixed », passer le script suivant via le PowerCLI vSphere :

Connect-VIServer monvcenter
get-cluster “mon cluster” | Get-VMHost | Get-ScsiLun -LunType disk | Where-Object {$_.MultipathPolicy -ne “RoundRobin”} | Set-ScsiLun -MultipathPolicy “RoundRobin”

A adapter si on veut un seul cluster, un seul ESX, tous les ESX, …

Code !

Avec le temps, je commence à me familiariser avec WordPress.

Et une chose que j’avais du mal à faire proprement (à mon goût), c’est intégrer du code dans mes articles. Ce qui m’arrive quand même assez régulièrement.

Jusqu’à ce que je découvre le plugin SyntaxHighlighter

et franchement,
ça change la vie !

Merci m’sieur Gorbatchev ! 🙂

Windows Update Pas

Qui n’a jamais rencontré une erreur lors d’un Windows Update ?

La première chose à faire est bien sûr de réessayer. De vérifier qu’on a bien accès à internet, que la date et l’heure du système sont correctes, qu’on a un peu de place sur C:\…

Et ensuite ?

Le plus simple et rapide est de purger le cache Windows Update. Pour ce faire, rien de plus simple :

  1. arrêter le service « Windows Update » (ou « Mises à jour Windows » sous Win 2003 et précédents)
  2. se rendre dans le répertoire C:\Windows\SoftwareDistribution\DataStore et supprimer le DataStore.edb (et éventuellement les logs, ça ne mange pas de pain)
  3. démarrer le service « Windows Update » (ou « Mises à jour Windows » sous Win 2003 et précédents)

Dans la très grande majorité des cas, ça résout le souci…

Accessoirement, et en bonus, vous pouvez vider le répertoire C:\Windows\SoftwareDistribution\Download ; il s’agit des téléchargements effectués pour faire les mises à jour, et ce sont en fait juste des caches. A supprimer. Ça fait un peu de place 😉

RHEL – Désactiver ctrl-alt-del

Linux, c’est bien beau, mais ça ne capte pas les « ctrl-alt-del » (ou suppr, pour nous autres francophones). Du coup, la commande système correspondante est exécutée, à savoir, reboot immédiat.

Pour parer à tout risque de reboot intempestif d’une machine linux de production quand on est sur une session Windows et qu’on a la main sur une machine linux, qui, elle, interprétera différemment le fait qu’on veuille juste changer de mot de passe ou verrouiller son poste… il peut être intéressant de modifier la commande ctrl-alt-del afin qu’elle ne reboote pas directement le serveur (ou de créer un script qui demande confirmation avant reboot).

Les fichier à modifier sont les suivants :

  • RHEL 5 (et prédécesseurs) :
vi /etc/inittab

La ligne à rechercher est la suivante :

# Trap CTRL-ALT-DELETE

ca::ctrlaltdel:/sbin/shutdown -t3 -r now
  • RHEL 6 et suivants :
vi /etc/init/control-alt-delete.conf

Chercher la ligne :

# start on control-alt-delete

exec /sbin/shutdown -r nowControl-Alt-Delete pressed

Deux solutions s’offrent à vous, soit commenter purement et simplement la ligne avec un # au début (et on n’aura alors plus de problème puisque ctrl-alt-del ne fera rien), soit créer un script maison, qui demande à l’utilisateur s’il est vraiment sûr de vouloir rebooter la machine (après tout, le ctrl-alt-del peut être une option intéressante pour faire un reboot propre sur une machine dont on a oublié le mot de passe… pour par exemple pouvoir reseter le mot de passe root au chargement du GRUB).

Sauvons nos serveurs de production !

Happy swappiness !

Un paramètre que l’on oublie souvent de préciser, lorsqu’on installe un OS linux, est le swappiness.

Mais qu’est-ce donc ?

Il s’agit du seuil de mémoire vive libre à partir duquel les pages vont être déchargées sur disque, dans le swap. Autrement dit, il s’agit du seuil minimal de RAM à maintenir disponible avant de swapper.

Or, par défaut, par exemple sur Red Hat, ce paramètre est mal configuré : il est à 60%. Cela signifie donc que l’OS commencera à swapper dès qu’on dépassera 40% d’utilisation de la RAM. Eh oui, 60% de libre minimum, ça implique 40% d’occupé maximum.

Le seuil idéal pour ce paramètre, pour des performances correctes et sans swapper, est quelque part entre 10% et 20%, en fonction des applications et de leur utilisation. Mais ça change tout par rapport à 60%…

Pour modifier ce paramètre,

vi /etc/sysctl.conf

Rechercher et modifier la ligne :

vm.swappiness = 10

Pour que cette modification soit prise en compte immédiatement :

sysctl -p

Sinon ce sera pris au prochain reboot.

Et pour vérifier quelle est la valeur actuelle du swappiness…

cat /proc/sys/vm/swappiness

 

Happy swappiness !

Dates de fin de support Microsoft

Je ne m’en souviens jamais, et j’en ai marre de rechercher à chaque fois sur le site de Microsoft. Adonc, je vais compiler ici les dates de fin de support des produits Microsoft.

  • OS Clients
    • Windows XP
      • fin de support inital : 14/04/2009
      • fin de support étendu : 08/04/2014 (Embedded : 12/01/2016)
    • Windows Seven
      • fin de support inital : 13/01/2015
      • fin de support étendu : 14/01/2020
    • Windows 8 et 8.1
      • fin de support inital : 09/01/2018
      • fin de support étendu : 10/01/2023
    • Windows 10
      • fin de support inital : 13/10/2020
      • fin de support étendu : 14/10/2025
  • OS Serveurs
    • Windows 2000
      • fin de support inital : 30/06/2005
      • fin de support étendu : 13/07/2010
    • Windows 2003 et 2003 R2
      • fin de support inital : 13/07/2010
      • fin de support étendu : 14/07/2015
    • Windows 2008 et 2008 R2
      • fin de support inital : 13/01/2015
      • fin de support étendu : 14/01/2020
    • Windows 2012 et 2012 R2
      • fin de support inital : 09/01/2018
      • fin de support étendu : 10/01/2023
    • Windows 2016
      • fin de support inital : 11/01/2022
      • fin de support étendu : 11/01/2027
  • SGBD
    • SQL Server 2000
      • fin de support inital : 08/04/2008
      • fin de support étendu : 09/04/2013
    • SQL Server 2005
      • fin de support inital : 12/04/2011
      • fin de support étendu : 12/04/2016
    • SQL Server 2008 et 2008 R2
      • fin de support inital : 08/07/2014
      • fin de support étendu : 09/07/2019
    • SQL Server 2012
      • fin de support inital : 11/07/2017
      • fin de support étendu : 12/07/2022
    • SQL Server 2014
      • fin de support inital : 09/07/2019
      • fin de support étendu : 09/07/2024
    • SQL Server 2016
      • fin de support inital : 13/07/2021
      • fin de support étendu : 14/07/2026