Dates de fin de support Microsoft

Je ne m’en souviens jamais, et j’en ai marre de rechercher à chaque fois sur le site de Microsoft. Adonc, je vais compiler ici les dates de fin de support des produits Microsoft.

  • OS Clients
    • Windows XP
      • fin de support inital : 14/04/2009
      • fin de support étendu : 08/04/2014 (Embedded : 12/01/2016)
    • Windows Seven
      • fin de support inital : 13/01/2015
      • fin de support étendu : 14/01/2020
    • Windows 8 et 8.1
      • fin de support inital : 09/01/2018
      • fin de support étendu : 10/01/2023
    • Windows 10
      • fin de support inital : 13/10/2020
      • fin de support étendu : 14/10/2025
  • OS Serveurs
    • Windows 2000
      • fin de support inital : 30/06/2005
      • fin de support étendu : 13/07/2010
    • Windows 2003 et 2003 R2
      • fin de support inital : 13/07/2010
      • fin de support étendu : 14/07/2015
    • Windows 2008 et 2008 R2
      • fin de support inital : 13/01/2015
      • fin de support étendu : 14/01/2020
    • Windows 2012 et 2012 R2
      • fin de support inital : 09/01/2018
      • fin de support étendu : 10/01/2023
    • Windows 2016
      • fin de support inital : 11/01/2022
      • fin de support étendu : 11/01/2027
  • SGBD
    • SQL Server 2000
      • fin de support inital : 08/04/2008
      • fin de support étendu : 09/04/2013
    • SQL Server 2005
      • fin de support inital : 12/04/2011
      • fin de support étendu : 12/04/2016
    • SQL Server 2008 et 2008 R2
      • fin de support inital : 08/07/2014
      • fin de support étendu : 09/07/2019
    • SQL Server 2012
      • fin de support inital : 11/07/2017
      • fin de support étendu : 12/07/2022
    • SQL Server 2014
      • fin de support inital : 09/07/2019
      • fin de support étendu : 09/07/2024
    • SQL Server 2016
      • fin de support inital : 13/07/2021
      • fin de support étendu : 14/07/2026

 

RHEL7 – elle est où mon eth0 ?

Sur RHEL7 (et CentOS 7), le nom de l’interface réseau n’est plus l’habituel etho0, mais il est généré lors de l’installation (et ressemble à quelque chose comme eno0). Pour retrouver les classiques eth0, eth1, etc., voici comment faire :

1) renommer le script de configuration de l’interface :

mv /etc/sysconfig/netwwork-script/ifcfg-eno0 /etc/sysconfig/network-script/ifcfg-eth0

2) modifier ledit script :

vi /etc/sysconfig/network-script/ifcfg-eth0

Rajouter en premier la ligne suivante :

DEVICE="eth0"

et compléter le reste avec les informations habituelles.

3) ouvrir le fichier /etc/default/grub, et ajouter à la ligne « GRUB_CMDLINE_LINUX » les options suivantes :

net.ifnames=0 biosdevname=0

4) recharger la configuration grub :

grub2-mkconfig -o /boot/grub2/grub.cfg

5) puis redémarrer la machine :

shutdown -r now

Et c’est réglé !

Client lourd VMware et vSphere 5.5

On le sait, VMware nous encourage vivement à utiliser le client web plutôt que le client lourd. Mais voilà, nous sommes nombreux à le trouver moins pratique, moins intuitif, moins… Enfin, on l’aime pas, pour résumer. Du coup, pour nous obliger à l’utiliser, il n’est plus possible de modifier les paramètres de machines virtuelles avec un hardware en vmx-10 avec le client lourd. Comme ça, c’est fait, on est obligé d’utiliser le client web. Mais… une version particulière du client lourd (pour être précis, la vSphere Client 5.5.0 build 2417603) permet toujours de le faire… Et de se passer du client web.

Où diable configure-t’on le serveur de licences dans RDS 2012 ?

J’ai dernièrement eu besoin d’installer des serveurs RDS 2012 (pour mettre du Citrix, à la base, en fait). J’ai eu bien du mal à trouver où configurer le serveur de licences RDS…

Il faut aller dans le gestionnaire de serveur, et, depuis le tableau de bord, sélectionner à gauche « Services bureau à distance ». Sur la « vue d’ensemble du déploiement » (décidément, quel joli nom), dérouler le menu tâches, puis cliquer sur « modifier les propriétés du déploiement » (ça tombe sous le sens, non ?).

licences

A gauche, sélectionner « Gestionnaire de licences ». Et voilà, c’est ici qu’on fait tout ça !